Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/180

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madame Anne Radcliff. Mais à chaque pas les petits soins de la vie intérieure, la propreté, les fleurs et les rires folâtres, embellissent ce vieux monastère décrépit, qui s’étend comme une petite place forte, avec ses rues, ses différens quartiers, ses fortifications et ses communications souterraines au milieu du faubourg Saint-Marceau.

Au haut d’un escalier en vis, Rose entra, avec ses guides embéguinés, dans une chambre assez confortable, qu’on n’osait pas appeler le salon, mais qui n’était pourtant pas autre chose. La supérieure y recevait ses visites particulières, et derrière un