Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/205

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

santerie délicieuse à faire sur les plus sombres drames de la vie réelle.

« Elle fait assez bien son entrée en scène, dit-elle à Béatrix, sans se douter de la justesse de cette réflexion.

« — Elle a le pied très-bien, dit mademoiselle de Craon ; c’est étonnant pour une provinciale.

« — Ce sont d’assez beaux yeux pour des yeux de province, dit Émilie de Longueville, qui aimait beaucoup à persiffler mademoiselle de Craon.

« — A-t-elle salué en entrant ? dit mademoiselle de Vergennes.

« — Non, dit Béatrix, elle a été