Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/236

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

pas fier, lui ! il s’arrange des pauvres filles tout comme des nobles héritières. Il ne fait attention qu’aux bons sentimens, et je garantis ceux de ma petite Blanche. Quel dommage que cela ne soit pas robuste ! Ça aurait fait une très-bonne servante du bon Dieu ! mais il n’y faut pas songer. Prenez-la dans votre couvent, c’est ce qu’il vous faut pour chanter et pour broder.

« — Il ne faut pas croire, dit la supérieure un peu blessée du ton de la sœur de charité, que ce soit chose si facile que de bien réussir dans notre ordre. Il nous faut une certaine santé… Ne vous imaginez