Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/239

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nous ne l’avons point encore interrogée ; il ne faut pas croire que nous soyons absolument sans occupations, et que le métier de supérieure nous laisse tant de loisirs…

« — Eh bien ! accordez-moi donc tout de suite de la faire venir et de l’interroger ; car je suis forcée de repartir demain pour le Havre, et si vous refusez ma novice, je ne peux pas la laisser sur le pavé, la pauvre enfant.

« — Soyez certaine, répondit madame de Lancastre, revenant à toute sa bonté naturelle, que s’il ne s’agissait que de donner l’hospitalité à cette jeune personne, nous le ferions avec plaisir aussi long-temps que cela