Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/67

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n’aurait pas l’esprit de se déshabiller.

« — Après tout, dit la nourrice, il n’y a pas de mal, elle n’en dort que mieux. Monsieur veut-il déjeûner ?

« — Non, Mariette, je pars pour la campagne.

« — J’ai cru que monsieur ne partait qu’après-demain.

« — J’ai besoin à la Réole ce soir. Vous, Mariette, dès que Denise sera éveillée, faites son paquet et conduisez-la au Sacré-Cœur. C’est aujourd’hui qu’elle doit y rentrer ; recommandez-la de nouveau aux soins de ma tante, et dites qu’on n’épargne rien pour rendre sa pauvre existence