Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/80

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ne se lasse pas, un pédagogue qui férule jour et nuit, car tu ne pus jamais l’apaiser. Elle te poursuivit au milieu des plaisirs, au sein de l’ivresse, dont tu recherchais les capiteuses émotions pour fouetter ton sang douloureux. Elle te châtia cruellement, et la conscience, vois-tu, c’est moitié vertu, moitié orgueil ; moitié raison, moitié sottise.

« Puis, tu ne te sentis pas plus tôt malheureux que tu craignis de le paraître. Car avouer ton mal, toi, sublime philosophe, modèle de sérénité, c’était confesser ta chute, et tu aimais mieux devant nous devenir mauvais sujet par calcul que de