Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/160

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beauté corporelle. Et quoiqu’il semble que ces vocations ne soient pas bonnes, on en a vu qui, étant ainsi venues, ont fort bien réussi au service de Dieu. » « Et remarquez, dit le même saint, quelques lignes plus loin, que quand je dis une volonté ferme et constante de servir Dieu, je ne dis pas qu’elle doive avoir, dès le commencement, une constance si grande, qu’elle soit exempte de toute répugnance, difficulté ou dégoût, ni qu’elle ne vienne à chanceler et à varier dans son entreprise ; non, ce n’est pas ce que je veux dire, tout homme est sujet à passion, changement et vicissitude. Et tel aimera aujour-