Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/186

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Mais, monsieur Laorens, venez donc ; vous devez avoir besoin de changer, de vous reposer ; ici comme à Mortemont il y a toujours une chambre toute prête pour vous recevoir… ma foi, M. Horace ne vous attend pas ; mais vous êtes toujours le bien-venu, et aujourd’hui plus que jamais.

Laorens ne répondait pas ; il suivait Mathias, et l’écoutait à peine, tant il était surpris, préoccupé de tout ce qu’il venait d’apprendre. Lorsqu’il se trouva seul dans sa chambre, il se rappela une lettre qu’Horace lui avait écrite de Bordeaux à Florence où il était alors, et il s’étonna moins de son mariage