Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/192

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Denise !… s’écria Laorens, en reculant de surprise… — Viens donc ! dit Horace avec un sourire forcé ; c’est une de tes élèves : tu la connais ; tu n’en as pas eu de plus belle.

Laorens était tremblant, agité ; il voulut retenir Horace ; mais celui-ci l’entraîna sans l’entendre ; ils entrèrent tous les deux dans le salon où la société était réunie. Laorens, les yeux troublés, le cœur palpitant, balbutia quelques mots de politesse devant mademoiselle Cazalès, qui s’était avancée vers lui avec bienveillance ; puis, se laissant traîner machinalement par son ami, qui le conduisait par la main, il s’arrêta sans voir et sans regarder Denise ; mais lors-