Page:Sand - Voyage en Auvergne, paru dans Le Figaro, 04 et 11 août 1888.djvu/29

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XX

Le cœur demeura pur comme le miroir.

Eh ! ogni respiro appanna.

Il fut ardent, il fut sincère, mais il fut aveugle ; on ne put le ternir, on le brisa.


XXI

Je partis pour les Pyrénées… Qu’est-ce que j’entends là ? Déjà le dîner ? J’ai donc bien rêvassé au lieu d’écrire ! Oui, j’ai fait une pause après chaque chapitre et les deux heures sont écoulées, et je n’en suis qu’à la moitié. Que dis-je ? Je ne fais que commencer… Allons, ce sera pour un second volume, en attendant, envoyons celui-ci à un libraire, à M. Panckouke ou à M. Ladvocat ? À M. Ladvocat :


Monsieur, je vous envoie mon ouvrage. Il est bon, c’est moi qui vous le dis.