stupéfaits, sans comprendre le sens de mon interrogation, je poursuivrais :
— Vous levez-vous à des heures régulières ? Prenez-vous grand soin de Madame votre mère ?… de la tenue de la maison ?…
» Réservez-vous une part raisonnable aux plaisirs du monde, sans cependant qu’ils vous accaparent, gardez-vous au travail une part supérieure ?…
» Usez-vous du sport comme délassement, et non d’une façon exclusive et burlesque comme ces toquées qui ne savent point quitter leur automobile, leurs patins ou leur bicyclette ?…
» Mettez-vous un frein à la « folle du logis » et la maintenez dans les voies permises ? Dressez-vous votre imagination à considérer les choses et les gens sous leur aspect favorable, et tendez-vous votre volonté à mesurer les obligations qui vous sont échues de bas en haut et non de haut en bas ?…
» Consacrez-vous, chaque jour, un long moment à la lecture, et, parfois, vous inquiétez-vous de la santé de votre cœur, en pénétrant sagement dans votre « réfléchissoir » ?…
» Distribuez-vous, en toute justice, la somme d’amour et de tendresse qui revient à chacun : aux humbles et aux forts, aux petits et aux grands : et n’oubliez-vous point de cultiver