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203. Nous savons que le point placé après une note en augmente la valeur de moitié : qu’ainsi une ronde pointée vaudra une ronde et demie, ou trois blanches ; qu’une blanche pointée vaudra une blanche et demie, ou trois noires. De même à l’égard des autres valeurs. Une note pointée est donc naturellement divisible par trois. | Le point d’augmentation. |
TABLEAU DES VALEURS POINTÉES[1].
204. De plus, on se souvient qu’une note peut recevoir deux, et même trois points d’augmentation successifs ; que le deuxième point vaut la moitié du premier, et le troisième la moitié du second : qu’ainsi une ronde suivie de deux points vaut une ronde, une blanche et une noire. | |
205. Enfin, on a vu que le point d’augmentation était applicable aux signes de silence. | |
206. Outre les rapports de durée résultant de la division binaire, l’oreille apprécie très-bien encore ceux qui proviennent de la division ternaire. | Division ternaire. |
207. Nous avons vu (§203) comment le point d’augmentation pouvait devenir un signe de la division ternaire[2]; le tableau ci-dessus des valeurs pointées en fournit la démonstration. | Signes de la division ternaire. |