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nos revenus, 35. Comment les produits suffisent pour les payer, 54. Même lorsque leur prix vient à baisser, 54. Sont d’autant mieux payés que les produits sont à meilleur marché, 57. Leur haut prix indique qu’il y a des productions qui sont profitables, 62. Les matières premières elles-mêmes tirent toute leur valeur des services productifs qui les procurent (note), 68.
Sismondi (M. de) se plaint que toutes les marchandises surabondent par tout, 10. Croit à tort que le capital de l’entrepreneur fait le revenu de l’ouvrier. (Ce revenu est son travail ; c’est la valeur de ce travail qu’il consomme,) 37. Croit tous les genres d’industrie obstrués, 99. N’a pas attaché assez d’importance au bon marché des produits, 138. Supposition inadmissible qu’il fait relativement au métier à tricoter, 147.
Smith (Adam) ; que la distinction du travail productif et improductif n’est pas le fondement de son livre, 40. N’a pas vu complètement le phénomène de la production et de la consommation des richesses, 43. N’attribue le nom de richesses qu’aux choses qui ont une valeur échangeable, 159.
Sucre ; quelle était sa consommation en France en 1813, 106. Quelle elle est en 1820, 107.
T.
Talens : font partie de nos richesses, 166.
Travail ; mot insuffisant pour exprimer les services productifs, 31 (voyez ce dernier mot), n’est point la pierre angulaire du livre d’Adam Smith, 41. N’est qu’un produit, 46.