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Scène XXII.

Les précédens ; SAINT-PHAR, ÉLISE.
M. DE SAINT-PHAR, qui a entendu les derniers mots.

Au contraire, mon cher vicomte, c’est que je ne consens point.

LE VICOMTE.

En voici bien d’une autre ! N’est-ce pas vous qui tout à l’heure….

M. DE SAINT-PHAR.

Oui ; mais j’y avais mis pour condition que votre fils me conviendrait ; et d’après la conversation que nous venons d’avoir…

ALPHONSE, étonné.

Que nous venons d’avoir !

M. DE SAINT-PHAR.

Il est bien heureux d’être votre fils ; sans cela je l’aurais fait sauter par les fenêtres ; et en attendant je l’ai mis à la porte.

LE VICOMTE.

Comment, mon fils… (Montrant Alphonse.) Eh ! mais le voilà.

M. DE SAINT-PHAR.

Lui ?

ÉLISE.

Eh, sans doute ! c’est Alphonse.

M. DE SAINT-PHAR.

Mais alors, quel est donc celui à qui je parlais tout