Page:Segard - Le Mirage perpétuel, 1903.djvu/110

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Rien que pour avoir vu dans le soir transparent
Votre apparition vaporeuse et l’enfant
Dont les yeux étonnés m’observaient sans comprendre,

Mon cœur est demeuré méditatif et tendre
Comme si mon bonheur au détour du chemin
S’enfuyait avec vous sur l’aile du Destin !