Page:Segard - Le Mirage perpétuel, 1903.djvu/34

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Dalles rouges encor d’un meurtre furieux !
Dernier sourire, hélas, dans un dernier adieu,
Et tumulte bientôt recouvert de silence.

Le harem a gardé l’odeur fade du sang,
Et comme en un caveau on respire en passant
De ces deux amants morts la tragique présence.