Page:Segur - Pauvre Blaise.djvu/171

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tra dans la salle, traînant ses enfants, dont la peur redoubla quand ils se trouvèrent en face du redoutable comte. Il les attendait debout au milieu de la salle, les bras croisés et tenant une canne à la main. La fermière salua, balbutia quelques mots d’excuses, et attendit que le comte parlât.

« Approchez, polissons ! dit le comte d’une voix