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XXII


Le mois de février s’annonçait mal. Le temps était sombre, froid, pluvieux, et le rhume qui m’obligeait à garder le logis interrompit momentanément mes visites à Heine.

Il goûtait particulièrement les jolis contes de fée que M. Laboulaye donnait alors en étrennes aux lecteurs du Journal des Débats, et m’avait priée de lui procurer le numéro contenant la suite de ces contes. Faute d’indication précise, je dus aller moi-même à la recherche du numéro demandé, et ce ne fut guère qu’au bout d’une semaine