M2 LES BOURGEOISES DE ivrnoson.
“ FALSTAFF.-CÎGSÈ bien, nies enfants ; mais je suis tout à fait percé par les talons.
PISTOL.-FED ce cas, gare les engelures. p FALSTAFF.-Il n’y a pas de remède. Il faut.que j’accroche de côté ou d’autre, que je ruse.
PISTOL.-LES petits des corbeaux doivent avoir leur pâture.
Fansrans.-Qui de vous connaît Ford, de cette ville ? PISTOLt—J e connais l’individu ; il est bien calé. FALSTAFF.—MGS bons garçons, il faut que je vous apprenne ou j*en suis.
r1sroL.—À deux aunes de tour et plus. 1=.lLs*1*.~.1=i=.-Trove de plaisanterie pour le moment, Pistol. Je suis gros, si vous voulez, de deux aunes de tour ; mais je n’ai pas gros f al dépenser : je nfoconpe de faire ressource. En deux mots, j’ai le projet de faire 17El.l1lOl11` al la femme de Ford. J’entrevois des dispositions de sa part : elle discourt, elle découpe it table, elle décoclie des œillades engageantes. Je puis traduire le sens de son style familier z et toute l’expression désa conduite, rendue en bon anglais, est, je suis it sir John Fa !- slafl". * i
- PISTOL.*111,3. bien étudiée ; il traduit le langage de sa
pudeur en bon anglais.
NYM.-L’ancre est jetée bien avant. Me passerez-vous la chose ?-
FALSTAFF.-Le bruit du pays, o’est qu’elle tient les cordons de la bourse de son.mari : elle a une légion de séraphins.
rxsfror, -, -èlllt autant de diables al ses trousses. Allons, je dis : garçon, cours sus.
Nm.-La chose devient engageante. Cela. est très-bon : faites-moi la chose des séraphins. v 1 Indeed I am in the waist two *yards about ; but I am now aboutno waste. On voit dans la seconde partie de Henri IV le même jeu de mots entre waist(tei1le) et -wa.ste(dépense).