Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/134

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132 LES sounenoxses DE wiuoson. Je te remercie, bon vieux corps. Laissons dire à.1`envie qu’il* est construit grossièrement ; s’il Pest agréablement, qu’importe ?, (Entre Bardolph) nlmoonrn.-Sirlohn, il y a la en bas un monsieur Brook qui désire vous parler et faire connaissance avec vous, et il aenvoyé à Votre Seigneurie du vin d’Espagne pour le coup du matin. FALSTAFF.-Brook est son nom ? ' BARDOLPH.-Oui, chevalier. FALSTAFF.-Qu’i1 monte. De pareils brocs sont bien venus chez moi, lorsqu’il en coule une pareille liqueur. —Ahl ah ! mistriss Ford et mistriss Page, je vous tiens toutes deux. Allons. Via ! ` (Bardolph sort.) (Rentrent Bardolpli avec Ford déguisé.) Fonn.-Dieu vous garde, monsieur. ' Fsrsnrr.-Et vous aussi, monsieur. Souhaitez-vous me parler ? nono.-Excusez, si j’ose ml introduire ainsi chez vous sans cérémonie. FALSTAFF.-Vous êtes le bienvenu. Que désirez-vous ? Laisse-nous, garçon.. \ (Bardolph sort.) sono.-l\Ionsieur, vous voyez un homme qui a dépensé beaucoup d’argent. Je m’appelle Brook. mesrsvr.-Cher monsieur Brook, je désire faire avec vous plus ample connaissance. ronn.-~Mon bon sir J ohn, jc recherche la vôtre : non que mon dessein soit de vous être à. charge ; car vous saurez que je me crois plus que vous en situation de prêter de Yargent : c’est c qui m’a en quelque sorte encouragé ànfintroduire d’une manière si peu convenable ; car on dit que, quand l’argent va devant, toutes les portes s’ouvrent. Fsnsrssn.-L’argent est un bon soldat, il pousse en avant. — Y * nono.-Vraiment oui, j’a1 ici un sac d’argent qui me gêne. Si vous voulez m’aider à le porter, sir John, pre-