noire III, sphnrzliv. 155
g¿a N*roi§§ .-Aie le courage @agir partoÿméine. Ilmlob-Jecte me tropÿgrancle naissance ; il prétend que je cherçhe seulement zi réparer au moyen de ses richesses le désordre dans ma fortune. Il me cherche encore cl’autre§ ¿querelles. Il nie reproche les sociétés c les ordonnées ou j'šai vécu ; il me soutient qu’il est impossible que je t’aime autrement que comme un héritage. ¿uvNp.Tl2eut5êt1*e qu’il (lit vrai. f FENTON.—Non ; j’en jure devant le ciel sur tout mon bonheur åt venir. Il est vrai, je l’avouerai, la foi tune de ton père fut le premier motif qui m’engagea si t’offrir mes soins ; mais, en cherchant à. te plaire, je to trouvai Qîllll bien plus grand pris que Por monnoye, ou les soninies pressées dans des sacs ; et ce n“est plus qu’à la infortune de te posséder que j’aspire maintenant., ANNE.-Mon cher monsieur Fenton, ne vous lassez pas pourtant de rechercher la bienveillance de mon père : monsieur Fenton, recherchez-låt toujours. Si llenipressement et les plus humbles prières ne peuvent rien, eh bien, alors, écoutez un mot.... I
(Ils se retirent pour causer à. l’écart.) (Entrent Shallow, Slender et Quickly.)
- s¿~rirt. Lg\v.-Danie Quickly, rompez leur colloque : mon
payent clesire parler pour son compte. synapse.-Allons, il faut que je fasse ici mon coup. En avant, il ne s’agit que CPOSBT.
si suêrpgvv.-Ne vous eifrayez pas, neveu. A smnnsn.-Oh ! elle ne nfèifraye pas ; je ne mïnquiete res île pela. § i.<=s !1'@SP*1e@i`=*i1›@ur- ` ' QUI.ÇI{LY.-ECOUÎBZ donc, monsieur Slender voudrait vous dire deux mots.
Asus ;-Ilefsuis à. lui dans l’instant. C’est celui que choisit mon père. (A pari.) Quelle foule de défauts disgracieux et ridicules sont embellis par trois cents livres de rente 1 .
QUICKLY.—Elf comment se porte le cher monsieur Fenton ? Un mot, je vous prie.
IISHALLOQY.—E119 vient. Ferme, cousin. 0 mon garçon ! tu avais un père....
