Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/172

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170 Les BOURGEOISES ne wiunsos.

—du panier : Il faut, je ne sais comment, qu’il en ait appris quelque chose. I L

Mrsfrniss roma.-C’est ce que nous allons savoir. Je mais faire emporter de nouveau le panier pàr mes gens, de manière qu’il le rencontre à. la porte comme la dernière fois.

isnsfrnrss men.-G’est bon, mais il va être ici dans Pinstant. Songeons a la toilette de la sorcière, cle Brentforcl. 1 uxsrmss roue.—Laissez-moi cl“abord donner mes ordres it mes gens pour le panier. Montez ; v je vais vous porter une coiffe.

nnsrnrss PAGE.—Puisse-t-il être pendu, le vilain clébauehe ! nous ne saurions le maltraiter assez. Nous laisserons dans ce que nous allons faire une preuve que les femmes peuvent en même temps être joyeuses et vertueuses. Nous n’agissons pas, nous autres qu*on voit toujours rire et plaisanter. Le vieux proverbes dit vrai : Cest le cochon paisible qui mange tombe gem trouve *. J (Elle sort.)

(Entrent les domestiques.)

" nnsrmss roue.-Allez, vous autres, reprendre le panier sur vos épaules ; votre maître est presque à la porte : s’il vous ordonne de le mettre à terre, oheissez-lui.-Allons, dépéohez..

J (Elle sort.)

PREMIER noimsrioun.-Viens, toi, , soulevons notre

charge.

snconn nonesrxoun.—Prions Dieu qu’il ne* soit pas rempli encore d’un chevalier 1 ` rnmxien DOMESTIQUE. -Pespere que non. J aimerais autant porter le même volume en plomb.

(Entrent Ford, Page, Sha1low, Caius et Evans.) i roue.-D’accord, monsieur Page. Mais si la chose est prouvée, avez-vous quelque secret pour faire que je ne sois pas un sot ?—A bas le panier, marauds les-Qu’on appelle ma femme l—Allons, jeune galant du panier, sortez.-0 suppôts d’infamie que vous êtes I-Il y a une 1 1 stazswine @me the amgf. *