Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/285

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ACTE v, soins vl. ` "281

, SCÈNE VI

Un endroit décåoîfivert dans le voisinage de l’abbaye de Swmstead. w.

Il èst nuit. = DE BATARD : sr HUBERT entrent par qu’férents gâtés.,

HUBER’l'.¿~*-*Ql1iV3.1å.Π? Harle. Holà ! parle vite, Qll je tirez. 1-, H e¢*w›D==-Ami=*ofli @S-te, wi ? — giqesnqkf-Du parti de l’Angleterre. np, pA<i’Anp.f=où vas-tu 2' '

ginriisiijr.-*Q11°e§ t-ce que cela te fait ? Ne pourrais-je pas m’enquérir de tes slfaires comme toi des miennes ? pr, sμjfiiiu, -G’esL Hubert, je crois. HÇëEBT¿:*rTLl as deviné juste. J e veux bien à tout lia-ie @foire demies amis. roi qui reconnais si bien vein QU ; @S-HI ? «

Lå gvsrsnn.-:Qui tu voudras ; et si cols te fait plaisir, tu peus gie faire l’amitiè de croire que je descends d’un côte @eg Plgintagenets.

noeggrgtn. :Mauvaise mémoire, c’est toi et l’aveugle nuit qui nfaveq fait tort.-Brave soldat, pardonnesmqi simon oreille zipufrnéccnnaîlre aucun des accents dem voix.. -`,

~L’E BATARD -Allons, @lions ; sans compliment, quelles nouvelles y a-t-il ? ' '

HUBERT.-lili ! çfetgnit pour vous trouver que je cheminais ici sous les sombres regards de la nuit. LÈ hymne.:-Abrége donc  : quelles-nouvelles ?. HUBERT.-O mon cher monsieur, des nouvelles convonant alla nuit, noires ; effrayantes, désespérantes, horribles ! .

LE Bl}TARD.-MDÎIÈTQ-IHOÎ où a. porté le coup de ces

mauvaises nouvelles. Je ne suis pas une femme, et je ne m’évanouirai pas.

HHUBERT.-Le.roi, je le crains, a été empoisonné par un pleine., le Fai laisse presque sans voix, et je suis accouru pour vous informer de ce melheuiï afin que