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ontici pris par serment et reciproquenïent signe l’engagement d’assassiner’le roi à Oxford. `-LA
nncnnssn D, YORK.-Il nlen sera pas : nous le garderons ici ; et alors comment pourra-t-il s’en mêler ? roux.-Laissefmoi, 'femlne inconsidérée : fiît-il vingt fois mon fils, je le dénoncerais.
LA DUCHESSE n’Yonk.-Ah ! si tu avais pousse pour lui autant de gémissements que moi, tu serais plus pitoyable. Mais je sais maintenant ce que tu penses : tu soupçonnes que j’ai été infidèle à. ta couche ; et qu’il est un lmltmd au lieu’d*être ton fils. Ah ! cher York, cher époux, n’aie pas cette pensée ; il te ressemble autant qu’homn1e puisse ressembler al un autre ; il ne me ressemble pas, ni à personne de ma famille, et pourtant je 1'aime.
Yoan.-Laisse-nroi passer, femme indisciplinée.
(Il sort.)
LA nucnnssn D7YORK.*V€l. après lui, Aumerle : monte son cheval’ ;, pîq11e, presse, arrive avant lui auprès du roi, et implore ta grâce avant qu’il t’accuse. Je ne tarderai pas à te suivre : quoique vieille, je ne doute pas que je ne puisse galoper aussi vite qu“York. Je ne me relèverai point de terre que Bolingbroke ne t’ait pardonné. Partons. Va-t’en.
- (Ils sortent ; l
SCÈNE III `
La scène est la Windsor.-Un appartement dans le château. * Entrent BOLIÈTGBROKE en roi, PERCY et autres seigneurs. BOLINGBRUKE.-Personne ne peut-il me donner des nouvelles de mon débauche de fils ? Il y a trois mois entiers que je ne Pai vu. S’il est quelque fléau dont le ciel nous menace, c’est lui. Plùt à Dieu, milords, qu’on put le découvrir ! Faites chercher à Londres, dans toutes les tavernes ; car on dit qu’il les hante journellement avec lies compagnons sans mœurs et sans frein, .de ceux=là.