Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/419

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Accu : 1, soinvn 111. M7

j’entends parler de*ce vil politique, de ce Bolingbroke. Du' temps de Richard.... Comment appelez-vous cet endroit ? . . que le diable l’emportè LIL. (Test dans le comté de Gloeester.... là., au’château du duc, de son imbécile d’oncle, son oncle d’York... ce futla que je iléchis pour la première fois le genou devant ce roi des sourires ; ce Bolmgbroke, au moment où vous reveniez avec lui de o l* 1

Bavenspurg.

Non’rHUMeEnLANn.-(Yètait au château de Berkley. norsrnn.-Oui, ée’st la même Eh bien, quelle quantité de politesses sucrées me fit alors ce chien couchant ! voyez, .... quand sa fortune, encore au berceau, aimait grandi. Et..Î. mon aimable Henri Pcrcyu.. et, cher cousin... Oh 1 que le diable emporte de pareils fourbes I-Dieu veuille me pardonner ! Bon oncle, dites votre affaire, j’ai fini. “

À Woacnsrnri.-Non, si vous n’avez pas fini, continuez ; nous attendrons votre loisir.

HOTSPUR. ;%J 'ai fini, § Ll1`l’11£1J])Elllol9. xvoncnsrninf-Allons. revenons encore une fois a vos prisonniers écossais. Pienclez-leur la liberté sur-le-clïamp 1.

et sans rançon, et que le fils de Douglas soit votre seul agent pour lever unefarniee en Écosse. Ce qui, a raison de diverses causes que je vous expliquerai par cet écrit, sera, soyez-en certain, aisément accompli. (À Aarlhumberla-nd.) Vous, milord, tandis que votre fils sera employe, comme Je viens de le dire, en Écosse, vous vous insinuerez adroitement dans le cœur de ce noble prelaî, le meilleur (le nos amis, 1°a1*chevêque. Nonrnunsnnmno.-D’York, n’est-ce pas ? Woncnsrnn.-Lui-niéine, lui qui supporte avec peine la mort que son frère le lord Scroop a subie à Bristol. Je ne parle pas ici par conjectures ; je ne clis pas ce que je pense qui pourrait C-tre, maisnce que je sais qui est méclité, conçu, déjà réduit en plan, et n’attend que les premiers regards de l’occasion propre a le faire éclore. .'Ho’rsPUR.-fle pressens le tout. Sur ma vie, cela réussira. NQRTHUMI ELLXÁD.—TOLl 1011l’S tu lâches la meule avant que la chasse soit ouverte.

fr. vx. 27