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en basses comparaisons, laisse-moi te dire seulement ces deux -mols.|...
reins.-Écoute bien, Jack.
ennui.-Nous deux, nous vous avons vus vous quatre tomber sur quatre, les garrotter et vous emparer de ce qu’ils avaient. Or, remarquez bien a présent comment un récit tout simple va vous confondre. Alors nous deux que voila, sommes tombes sur vous quatre, et d’un seul mot nous vous avons, zi votre barbe, enlevé votre prise, et nous Pavons, qui plus est, et nous sommes en état de vous la faire voir dans la maison ; et vous, Falstaff, en criant miséricorde, vous avez sauve votre bedaiue, et très-lestement, et très-adroitement, toujours courant, toujours hurlant, aussi bien que je 1'aie jamais entendu faire a un jeune taureau.-Ne faut-il pas que tu sois un grand misérable, pour avoir taillade ton épée expres comme tu Pas fait, et puis nous venir conter que c’était en te battant ? Quel subterfuge, quel stratagème, quelle échappatoire peux-tu trouver a présent, pour te dérober zi. ta honte visible et manifeste ?
rouvs.-Allons, dis-nous donc, Jack, quelle invention nouvelle te tirera de la ?
FALSTAFF.-Pa1*diet1, je vous ai reconnus comme celui qui vous a faits. Eh l voyons donc un peu, mes maîtres, ne vouliez-vous pas quojïtllasse tuer Pliéritier présomptif ? Était-ce à moi tenir tête à mon prince légitime ? Vraiment, vous savez bien que je suis brave comme Hercule. Mais voyez Pinsliuct, le lion ne toucherait pas au prince légitime '. L’instinct est une belle chose ; j’ai ele poltron par instinct : je n’en aurai que meilleure epinion de moi et de toi tant que je vivrai ; de moi, comme cl’un lion courageux, et de toi, comme du prince legitime. Mais après tout, mes enfants, je suis par-dieu bien aise que vous ayez Pargeiit. Hôtesse, jetez les portes, veillez cette nuit, vous prierez demain. Pour vous, gaillards, bons garçons, bons enfants, coeurs d’or, que tous les titres qui reviennent aux bons compagnons vous* Opinion consacrée dans plusieurs ballades.
