Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/68

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ee LE t’xAnenAm› ne vstusm. nites faisaient quelque gageure céleste, et que pour en» jen ils missent deux femmes de ce monde, et que Portigi en frit one, il faudrait absolument ajouter quelque chose à1'autrè : bar' ce pauvre et grossier univers n’a pas sa pareille. * Lomauzo.-Eh bien ! tu es en moi un époux pareil à ce qulelle est comme épouse. “ znzssxcli.-Oui ! demande-moi donc aussi mon sentiment sur ce poing Lonnnzo.-G’est çe que je ferai incessamment : mais d’abord allons dîner. uassien.-Pas du tout, -laissez-moi faire votre panégyrique, tandis que je suis en appétit. LOIiÎ3NZO.*NOH, je t’en prie ; réserve-le pour propos de table : une fois là, quoi que tu puisses dire, je le dië gererai grec le reste. " ' ` ' mssioe.—(Yest bien. je vais vous en srvir. (Ils sortent.) FIN nU frnorsxùme Ac’rB.