mettra pas, — et ne le cédera pas au pair le plus fier. — Homphroy de Glocester, tu le verras bien, — malgré ta naissance et ton autorité, — l’évêque ne se laissera pas dominer par toi ; — je te ferai fléchir et plier le genou, — ou je bouleverserai ce pays par la discorde.
— Ces nouvelles, messeigneurs, doivent relever nos esprits abattus. — On dit que les puissants Parisiens se révoltent — et reviennent au martial parti des Français.
— Marchez donc sur Paris, royal Charles de France, — et ne retenez pas votre troupe dans l’inaction.
— Que la paix soit avec eux, s’ils reviennent à nous ! — Sinon, que la ruine s’attaque à leurs palais I
— Succès à notre vaillant général, — et prospérité à ses partisans !
— Quel avis envoient nos éclaireurs ? Parle, je te prie.
— L’armée anglaise, qui était divisée — en deux corps, est maintenant réunie en un seul, — et veut vous livrer bataille sur-le-champ.