Page:Shelley - Œuvres poétiques complètes, t1, 1885, trad. Rabbe.djvu/180

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bientôt je pus entendre les feuilles soupirer, et je pus voir les fleurs du myrte étoilant l’obscur bosquet, et au-delà de la grève caillouteuse, le bateau s’enfuit sur un vent oblique dans une crique silencieuse, où les pins d’ébène entremêlaient leurs ombres sous la lumière des étoiles.