Page:Sigismond de Justh Le livre de la Pousta 1892.djvu/268

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ADIEUX


Un soir, quelques-uns de mes tsiganes favoris de Budapest tombèrent chez moi. Ils avaient voulu me faire une surprise.

Ils se mirent à jouer sous la grande vérandah de ma maison d’où, entre le feuillage des vieux arbres, j’avais vue sur la pousta immense, sur sa mer de blés dont l’extrémité allait rejoindre le ciel plein d’étoiles.

Tout se confondait, ce que je voyais,