Page:Signoret - Daphné, 1894.djvu/55

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La Maison des Rossignols




 
Le parc d’or vert et d’ombre est clos par neuf enceintes
De murs crépis, se déployant silencieux ;
Par leurs fentes, on voit frissonner l’hyacinthe ;
Des cimes d’arbres se balancent dans les cieux !

Sur les gazons, on voit miroiter des nigelles,
Et le murmure des oiseaux est éternel :
Tonne l’eau des bassins au marbre des margelles !
— Mais quand s’approfondit un Couchant solennel,