Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/34

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée



 
JE sais une maison fleurie
D’où mon cœur n’est pas revenu,
Et qui m’est comme une patrie
Où l’exil m’a fait inconnu.

Comme une feuille au vent fanée,
A son seuil de lierre jeté,
En n’y restant qu’une journée
J’y laissai mon éternité.