Page:Smith - Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, Blanqui, 1843, I.djvu/138

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de la monnaie d’argent dès le temps des Saxons ; mais on n’y frappa guère de monnaie d’or avant Édouard III, ni aucune monnaie de cuivre avant l’avénement de Jacques Ier au trône de la Grande-Bretagne. C’est aussi pour cela qu’en Angleterre et, je crois, chez toutes les autres nations modernes de l’Europe, on a en général tenu tous les comptes et évalué tous les biens et marchandises en argent ; et quand nous voulons exprimer le montant de la fortune de quelqu’un, nous ne