Page:Sophocle - Tragédies, trad. Artaud, 1859.djvu/427

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fontaines d’Apollon, que j’avais cru ne quitter jamais, je vais vous quitter ! Adieu, terre de Lemnos baignée par les flots ! qu’un vent favorable me porte là où m’appelle le destin, le vœu de mes amis[1], et le dieu, souverain suprême, qui a décrété ces événements[2].

LE CHŒUR.

Partons donc tous, après avoir prié les nymphes de la mer de nous accorder un heureux retour.


FIN DE PHILOCTÈTE.
  1. Néoptolème et Hercule.
  2. Jupiter, dont Hercule vient d’annoncer les volontés, βουλεύματα, v. 1413.