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fontaines d’Apollon, que j’avais cru ne quitter jamais, je vais vous quitter ! Adieu, terre de Lemnos baignée par les flots ! qu’un vent favorable me porte là où m’appelle le destin, le vœu de mes amis[1], et le dieu, souverain suprême, qui a décrété ces événements[2].
LE CHŒUR.
Partons donc tous, après avoir prié les nymphes de la mer de nous accorder un heureux retour.