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Page:Sorel - Le Berger extravagant, troisième partie, 1628.djvu/50

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n’estoit point encore escrit, ce sont des contes que les fileuses de Rome luy avoient apris. J’employe contre les diverses divinitez dont il à parlé, le traicté que j’ay faict du banquet des dieux, lequel je croy que mon juge à leu, et plusieurs de cette compagnie aussi, et pource qui est de ses diverses transformations je les ay desja renduës assez ridicules par les discours que j’en ay tenus de fois à autre en tant de lieux qu’il n’y à personne icy qui les ignore. Toutefois je diray encore que bien que la metamorphose ne soit qu’une extravagance, si est-ce qu’elle est moins blasmable lors qu’il semble que l’on en donne une pertinente raison, comme de dire cet amant à esté metamorphosé en une horloge de sable, pource qu’il faloit qu’il