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III. — Vers libre de transition. — Impuissance de certains à sentir rythmiquement 60

IV. — Ne brise rien : développe les réformes de Victor Hugo 61

V.— Rejette, comme les moyens de tout art, des rapports imposés d’avance. — Oppose de véritables lois à des procédés. — Souffre seulement d’une période de déchiffrement 62

VI. — Nouveauté d’invention, condition de beauté ; l’art, conquêtede l’esthétique sur le non esthétique. 63

VII. — Lois vers libristes comparables à celles des autres arts. — Distinction entre les arts visuels et les arts auditifs 64

Principes généraux. — Lois de mouvementées syllabes, les accents passionnels, le vers, la strophe). — Lois d’harmonie (valeur phonique et tonale, le rôle de l’assonance ou de la rime 64

VIII. — Objections. — Le rythme du vers et le rythme de la prose 66

L’accent rythmique et la phrase grammaticale. — Le « rejet » en prose 68

Le vers libre ne supprime rien.

IX. — Ne reconstruit pas inconsciemment des alexandrins. — Modification possible de toute figure dans le temps. — Faculté d’attraction du nombre douze et du nombre huit 69

Lutte de tous les arts du mouvement contre leur facilité. — Toute œuvre de mouvement n’offre de fixe que la volonté de l’artiste 70

X. — Le vers libre supérieur au vers trop métrique et à la prose trop rythmique. Le vers libre est la parole même, émotionnelle 71

M. Sully-Prudhomme et les routines de métier. — Le vers libéré, facilités 72

Le vers libre seul logique. — Les rhétoriqueurs et les poétiqueurs, patrons de la vieille versification. — Empiétements de la langue d’oc 74

Lien étroit du vers libre et du symbolisme, selon une double tradition. — Le vers libre encore à ses débuts. — Tradition académique et tradition organique.