Page:Souza - Oeuvres completes T1et2.djvu/479

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du serment que je fis de n’exister que pour Marie.

Aimable et bonne Marie, vous avez vaincu mes préventions, détruit ma susceptibilité, calmé ma jalouse inquiétude ; je voulais vous dominer, votre douceur ma soumis.



FIN DE CHARLES ET MARIE, ET DU DEUXIÈME VOLUME.