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QUATRIÈME PARTIE
DE L’ÉTHIQUE
DE LA SERVITUDE DE L’HOMME
OU
DES FORCES DES AFFECTIONS
PRÉFACE
J’appelle Servitude l’impuissance de l’homme à gouverner et réduire ses affections ; soumis aux affections, en effet, l’homme ne relève pas de lui-même, mais de la fortune, dont le pouvoir est tel sur lui que