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270 LES LUNDIS D’UN CHERCHEUR. Les six derniers vers manquent dans toutes les réimpressions ; ils ne se trouvent que dans l’Artiste du 13 décembre 1846. Les voici Amour de l’inconnu, jus de l’antique pomme, Vieille perdition de la femme et de l’homme, 0 curiosité, toujours tu leur feras Déserter, comme font les oiseaux, ces ingrats, Pour un lointain mirage et des cieux moins prospères Le toit qu’ont parfumé les cercueils de leurs pères. Sur les clébuts (à Bruxelles) de mademoi- selle Amina Boschetti. LA PETITE REVUE ; 13 mai 1865. A propos d’un importun. Un cabaret folâtre1. 1868. Post-scriptum de la première partie. Une édition des Œuvres complèles de Charles Baudelaire a paru ; elle contient un Sonnet à Théodore de Banville, daté de 1842, et un 1. Nous avions mis ici cette note, qui fut omise dans la pre- mière édition La circulation des Épaves étant interdite en France, nous avons renseigné de nouveau, parmi les poésies à réimprimer à Paris (voir plus loin, dans la deuxième partie de ce travail), celles de ces pièces dont la publication y serait possible. »