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CHARLES BAUDELAIRE. 297 17. quelques fragments inconnus. Puis M. Etienne Charavay, dans son remarquable et intéres- sant volume Alfred de Pigny et Clzarles Bau- defaire (in-12, 1879), a publié pour la pre- mière fois nombre de lettres inédites de ces deux écrivains. Enfin, M. A. Hignard, compa- gnon de collège de Baudelaire, à Lyon, rap- porte, dans la Revue du Lyonnais de juin 1892, de très intéressants souvenirs sur son ancien condisciple, où se trouvent cités de vers inédits datant de sa jeunesse. Après MM. de la Fizelière et Decaux, dont l’ouvrage contient, nous le répétons, plusieurs pages inconnues ou même inédites, M. Crépet a recueilli aussi dans son livre la note dont la Revue des Deux Mondes, dans son numéro du 1er juin 185o, accompagna l’insertion des premières Fleurs du Mal. Cette note passe pour avoir été rédigée par M. Emile Montégut. Sauf erreur ou double emploi, voici, comme complément de nos recherches, l’indication de tous les morceaux de Baudelaire mis au jour, à notre connaissance, depuis la publication de notre étude. Nous faisons précéder d’un astérisque celles de ces pièces qui sont réim-