Page:Stanley - Comment j'ai retrouvé Livingstone, version abrégée Belin de Launay, 1876.djvu/262

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allaient partir ; je leur adressai les paroles suivantes : « Vous retournez dans le Gnagnembé pour rejoindre le Grand-Maître. Vous le connaissez, vous savez qu’il est bon, son cœur est affectueux. Il ne vous battra pas, comme je l’ai fait. J’étais vif, mais je vous ai récompensés tous : je vous ai donné de l’étoffe et de l’argent, jusqu’à vous enrichir. Toutes les fois que vous vous êtes bien comportés, j’ai été votre ami. Vous avez eu une nourriture abondante, je vous ai soignés quand vous étiez malades. Si j’ai