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plan de conduite

de fermeté. Matériellement fidèle au plan de conduite dicté par le prince Korasoff, chaque soir il se plaçait assez près du fauteuil de madame de Fervaques, mais il lui était impossible de trouver un mot à dire.

L’effort qu’il s’imposait pour paraître guéri aux yeux de Mathilde absorbait toutes les forces de son âme, il restait auprès de la maréchale comme un être à peine animé ; ses yeux même, ainsi que dans l’extrême souffrance physique, avaient perdu tout leur feu.

Comme la manière de voir de madame de La Mole n’était jamais qu’une contre-épreuve des opinions de ce mari qui pouvait la faire duchesse, depuis quelques jours elle portait aux nues le mérite de Julien.