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Page:Stuart Merrill - Prose et vers (1925).pdf/243

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Qu’importent ces œuvres aux boutiquiers et aux sacristains ? Cela ne compte pas quand on a fait deux ans de prison.

Moi, devant la mort de l’homme le plus malheureux de ce temps, je crie pitié et j’invoque l’oubli. Ce qui fut le détenu C. 3. 3. est à jamais prisonnier de la grande Geôlière. Que l’œuvre d’Oscar Wilde nous paraisse désormais dans la sereine beauté de l’anonymat. Soyons au moins aussi pitoyables que la tombe !