Page:Sue - Le Juif errant - Tomes 5-6.djvu/681

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

velle dans la maison commune, qu’il avait gagnée.

Une vive lueur, d’abord blanchâtre, puis rousse… puis cuivrée, illumina au loin l’horizon.

M. Hardy regardait cela… avec une sorte de stupeur incrédule, presque hébétée. Tout à coup une immense gerbe de flamme jaillit au milieu d’un tourbillon de fumée accompagnée d’une nuée d’étincelles, s’élança vers le ciel en jetant sur toute la campagne et jusqu’aux pieds de M. Hardy des reflets ardents…

La violence du vent du nord, chassant et touchant les flammes qui ondoyaient sous la bise, apporta bientôt aux oreilles de M. Hardy les sons pressés de la cloche d’alarme de sa fabrique embrasée…




fin du sixième volume