arriver ainsi chez le valet de chambre du comte ; puis à l’aide d’une allumette prise sur la cheminée, le braconnier se procura de la lumière, vit la malle forcée ; la porte de l’escalier conduisant au cabinet de toilette de Monsieur Duriveau était restée ouverte, Claude Gérard devina tout, descendit, colla son œil à la serrure de la porte de la chambre à coucher, et vit le comte occupé à lire.
Après avoir ouvert, ainsi qu’on l’a dit, la fenêtre du cabinet de toilette qui donnait sur le jardin, afin d’assurer sa retraite, Claude Gérard, profitant du bruit de la tempête, fit doucement jouer le pêne de la porte de la chambre du comte, et put s’approcher de celui-ci sans en avoir été entendu.
Huit jours après cette entrevue entre Claude et M. Duriveau, d’autres événements se passaient à Paris, dans l’hôtel de Basquine, où nous conduirons le lecteur.