Page:Sue - Les mystères de Paris, 10è série, 1843.djvu/204

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— Il va mieux… on ne craint plus pour ses jours…

— Et son père ?

— Il se ressent de l’amélioration de la santé de son fils… il va mieux aussi… Et à Henri… que lui donnes-tu ?… Un souvenir de toi… lui serait une consolation si chère et si précieuse…

— Mon père… offrez-lui mon prie-Dieu… Hélas ! je l’ai bien souvent arrosé de mes larmes, en demandant au ciel la force d’oublier Henri, puisque j’étais indigne de son amour…

— Combien il sera heureux de voir que tu as eu une pensée pour lui…

— Quant à la maison d’asile pour les orphelines et les jeunes filles abandonnées de leurs parents, je désirerais, mon bon père, que…

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