Page:Sue - Les mystères de Paris, 10è série, 1843.djvu/205

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Ici la lettre de Rodolphe était interrompue par ces mots presque illisibles :

— Clémence… Murph terminera cette lettre… je n’ai plus la tête à moi ; je suis fou… Ah ! le 13 janvier !!!

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

La fin de cette lettre, de l’écriture de Murph, était ainsi conçue :

Madame,

D’après les ordres de Son Altesse Royale, je complète ce triste récit. Les deux lettres de monseigneur auront dû préparer Votre Altesse Royale à l’accablante nouvelle qu’il me reste à lui apprendre.

Il y a trois heures, monseigneur était occupé à écrire à Votre Altesse Royale ; j’attendais dans une pièce voisine qu’il me remît la lettre pour l’expédier aussitôt par un courrier. Tout à coup j’ai vu entrer la princesse Julianne