Page:Sue - Les mystères de Paris, 2è série, 1842.djvu/209

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affreusement habillée… Vous qui avez une taille à tenir dans les dix doigts, vous n’êtes plus reconnaissable.

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Nous raconterons plus tard les suites de cette découverte, qui amena de grands et terribles événements. Mais nous dirons dès à présent ce que le lecteur a sans doute déjà deviné… que la Goualeuse, que Fleur-de-Marie était le fruit de ce malheureux mariage… était, enfin, la fille de Rodolphe et Sarah… et que tous deux la croyaient morte.

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On n’a pas oublié que Rodolphe, après avoir visité la maison de la rue du Temple, était rentré chez lui, et qu’il devait, le soir même, se rendre à un bal donné par madame l’ambassadrice de ***.

C’est à cette fête que nous suivrons S. A. le grand-duc régnant de Gerolstein, Gustave-Rodolphe, voyageant en France sous le nom de comte de Duren.