Page:Sue - Mathilde, tome 4.djvu/154

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d’être désormais par trop son esclave, si ce n’était régner… que de lui obéir… Mais je vous laisse… mon bel ange-gardien ; faites-vous jolie, bien jolie, pour que nous puissions nous dire d’un coup d’œil en regardant votre cousine : Cette pauvre Ursule !

Gontran, me baisant au front, me quitta, et me laissa dans une sorte d’enchantement.