Page:Tacite - Oeuvres complètes, trad Panckoucke, 1833.djvu/422

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XIX. Argumentorum gradus. L’édition de Rome, argumentorum genera. (J.-L.) Il y a ainsi dans toutes les éditions jusqu’à Lipse, qui a misgnacius. Dr on ko rétablit genera.

Paucissimi prœcepta. Avant Rhenanus il y avait paucissima. (E.)

XXI. In A sitium. N’est-ce pas Asinium ? ( J.-L.) Murpt lit Ascitium, d’après son manuscrit. Schnrzfl., Fuscinium.

XXII. Ac liudatum pâtremfamiliœ. Je n’hésite point d’écrire ac lautum. (J.-L.) Bien. (E.) Nepos s’exprime de même dan e Atticus, chap. xiii.

XXIII. Nam et hoc invitus retuli. Le manuscrit de Rome et l’édition Princeps ont invitatus, qui est assez bien, parce qne cela signifie qu’il élait lui même fatigué de faire ces sortes de demandes à Messalla. (J.-l*.) Invilus vaut mieux, aussi bien que/tÆc, qui plaît à Acidalius. (E.)

XXVI. Fas esse debeat. Muret lit delæbat. Bien. ( E.) Acidalius l’approuve.

XXVIII. Etiamsi mihi. Les anciennes éditions ont et jam mihi. Pithou le conserve. Dans un autre manuscrit il y avait etenim jam si. d’où Pichena a fait sa correction.

Quæ omnes sentimus. Tel est le texte de l’édition Princeps. Puteolanus et Béroalde ont omis sentimus. Lipse i’a rétabli.

XXIX. In notitia.Pichena a mis ainsi. Il y avait auparavant in notitiam. —Expetuntur qui suit vient de Pithou : on lisait avant exspectantur.

XXXI. Oratori subjecta, met Juste-Lipse ; il y avait auparavant oratoris.

Ex comm. ducta sensibus. Les anciennes éditions ont ex omnibus ducta sermonibus. Lipse a fait la correction.

XXXIII. Longe paratiorem, Lipse lit ainsi. Avant il y avait longe paratum. — Parabatur, qui se trouve au commencement dn chapitre suivant, vient de Puteolanus ; l’édition Princeps si probatur.

Quæ propriœ curœ oratorum videntur. Rodolphe a propriœ esse oratorum videntur. Juste-Lipse propose : Propriœ circo oratorio videntur. Schelius l’approuve, mais il préfère oratorum à oratorio• On lisait, d’abord propriæ circa oratoriam. Brotier veut que l’on retranche circa, et qu’on lise propriæ oratorum. (E.) Pour moi, j’ai reçu curœ oratorum avec les éditeurs de deux-Ponts et Schulze. (O.)

XXXIV. Ita nec. Acidalias met jam vero nec.

Soliis statim et unus cuicumque causæ. Il y a ainsi dans les anciennes éditions. La leçon commune, statim unicuique causæ, ne manque pas de vraisemblance. (J.-L.)